Qui sommes-nous

CFE-CGC – AÉRONAUTIQUE, ESPACE, DÉFENSE

Le secteur Aéronautique Espace et Défense de la Métallurgie, recouvre le périmètre constitué au plan industriel par le GIFAS, groupement étendu depuis 2004 à l’électronique de défense et à la sécurité. Son chiffre d’affaires annuel non consolidé est de l’ordre de 60 Mds d’euros, dont une proportion de plus des deux tiers concerne l’exportation.

On compte dans ce secteur 186.000 salariés dont 21 % de femmes. Pour des raisons historiques, l’implantation industrielle des entreprises du GIFAS se situe majoritairement dans l’ouest, le sud-ouest et le sud de la France, qui regroupent plus de 60 % des emplois. Les trois grands pôles sont cependant l’Île de France (28 %), l’Occitanie (28 %) et la Nouvelle Aquitaine (13 %).

Très sensible au contexte politique – l’Etat étant présent au capital d’Airbus et très influent dans les vente militaires de Dassault et Thalès – le secteur n’en comporte pas moins un tissu de PMI très performantes, tirées techniquement vers le haut de par les exigences des produits.

Si cette filière est aujourd’hui en bonne santé, elle doit néanmoins faire face à des challenges fondamentaux tels que la digitalisation, l’utilisation d’énergies renouvelables et la pression sur la délocalisation des chaînes de production. Elle s’appuie sur une vision mondiale de l’industrie AED qui doit lui permettre de relever ces défis.

Créé en 1936, le syndicat CFE-CGC AED est le seul spécifique des industries de l’Aéronautique, de l’Espace et de La Défense. A ce titre, le syndicat CFE-CGC AED est le syndicat national de salariés miroir du GIFAS

Un salarié sur 3 dans la filière vote pour la CFE-CGC AED. Le syndicat compte 200 sections d’actifs et de retraités. Nous comptons plus de 1000 responsables dans les instances sociales, économiques de nos entreprises.

Le syndicat CFE-CGC AED est porteur dans l’entreprise de valeurs telles que l’humanisme, la responsabilité, le pragmatisme, le professionnalisme, l’équité et l’éthique.

Le syndicat CFE-CGC AED se projette dans l’entreprise au contact des salariés, considérant que les innovations viennent toujours de la périphérie. C’est un enjeu majeur pour le syndicalisme. En 2025, 70% des salariés actifs seront des “millenials”. Nous devons être au rendez-vous qu’ils nous fixeront!